Entrevue Pierre Hébert

Quel incident de parcours vous a amené à la photographie?

Ça a commencé le jour ou mon père m’a donné ma première caméra reflex. Depuis ce jour je shoot, et je shoot et je ne peux plus m’arrêter.

Quels sujets vous inspirent le plus?

Tout ce qui est beau! La création dans son ensemble m’inspire. Partout je cherche la beauté, l’amour et le bonheur… et il y en a beaucoup.

Avez-vous un rituel particulier au moment de vous mettre au travail?

Non. Je commence de façon spontanée. Sur l’inspiration du moment.

Quelle oeuvre vous tiens particulièrement à coeur?

C’est toujours la dernière toile réussie que j’affectionne le plus.

Le jour ou vous avez failli tout balancer?

Le jour ou j’ai gradué comme dentiste!

Votre secret cocasse le mieux gardé?

Quand je travaillais au Canadien Pacific comme serveur j’avais rencontré une jeune fille qui étudiait en art et qui était de passage à Montréal. J’ai appelé ma mère pour lui dire que je faisais un deuxième service. La jeune fille repartait de Montréal le lendemain… Ma mère me trouvait bien travaillant!

Peintre que vous admirez le plus?

Dali. C’est un génie de la peinture, de la sculpture et surtout du marketing.

Couleur Préférée?

Je préfère les couleurs de l’arc-en-ciel. Assurément je préfère le rouge et le bleu mais j’ai un fort penchant pour le jaune et le vert. Le noir me rend service et le blanc me dépanne dans plusieurs circonstances. Ces couleurs m’aident à en créer d’autre et me font me questionner sur les couleurs que je préfère réellement.

Votre fleur fétiche?

Le tournesol… c’est le grand soleil, soleil des jardins, fleur du soleil.

Au prochain tour de manège vous ferez quoi?

Dans ma prochaine vie je serais un créateur Italien.

On jase là… Que direz-vous à St-Pierre rendu là haut?

Pierre, tu es Pierre et moi, je suis Pierre. Sur ce, allons prendre un bonne bière et je te dirai toute la vérité. Et je te jure qu’on va se bidonner.